Le format $jps$ fournit l'objet $polygone$ qui est un tableau de points. Par exemple, |[]| est le polygône vide, et |[0 0 1 1]| est le polygône ayant pour sommets les points de coordonnées $(0, 0)$ et $(1, 1)$. On dispose de 2~commandes de tracé~: |ligne| et |polygone| qui ont toutes deux une syntaxe du type $$ \hbox {|[| $A_1$ $A_2$ $\ldots $ $A_n$ |]| |ligne|} \qquad {\rm et} \qquad \hbox {|[| $A_1$ $A_2$ $\ldots $ $A_n$ |]| |polygone|} $$ où les $A_i$ sont des points. La différence entre ces deux commandes est que |polygone| ferme le contour avant de faire le tracé. Pour ces deux commandes, on dipose du paramètre $linearc$ (à $0$ par défaut) qui indique au format le rayon (dans le repère jps) de l'arc de cercle reliant deux segments de droites. (Remarque~: pour que cet arc de cercle paraisse circulaire, le repère jps doit être orthonormé.) Pour un simple tracé entre deux points, le format propose la commande |line| disposant d'une syntaxe (un peu) plus légère~: $$ \hbox {$A$ $B$ |line|} $$ Les commandes |ligne| et |line| admettent en plus une option sous la forme d'une chaîne de caractères pour la gestion des fins de ligne (voir le paragraphe sur les paramètres jps). Un exemple~: %\epsfxsize 100mm \exemple {ligne} En résumé, on a les commandes~: \syntaxe \longref {$array$} {polygone} {$-$} {trace le polygône défini par le tableau de points $array$} \longref {$array$ $string$} {ligne} {$-$} {trace la ligne définie par le tableau de points $array$. Les extrémités de la ligne sont décrites par la chaîne optionnelle $string$} \longref {$A$ $B$ $string$} {line} {$-$} {trace le segment de droite $[AB]$. Les extrémités du segment sont décrites par la chaîne optionnelle $string$} \endsyntaxe et la variable~: \syntaxe \Longref {} {linearc} {indique au format le rayon (dans le repère jps) de l'arc de cercle reliant deux segments de droites pour les commandes |ligne|, |polygone|, ainsi que les |frame| et dérivés. } {$0$} \endsyntaxe