+Cette fonction «retourne» le compteur \variable{gdd0} et crée dans la
+table de type une entrée \typeGDD{point} et les attributs (coordonnées)
+correspondants \variable{a} et \variable{b} dans les tables
+\variable{gddA} et \variable{gddB}.
+
+Avec un tel type de fonctionnement, la plupart des manipulations se
+fait sur des \typeMP{numeric}s. En effet, pour déclarer un
+\typeGDD{point}, il suffit d'écrire
+\begin{lstlisting}
+A = point(2,3);
+\end{lstlisting}
+\variable{A} prend alors la valeur courante de \variable{gddO}. C'est
+l'identifiant de du point.
+
+\paragraph{Le type \typeGDD{vecteur}} Ce type correspond aux vecteurs
+définis à l'aide de deux points de l'espace euclidien. La fonction
+créatrice d'un tel objet est celle-ci
+%
+\begin{lstlisting}
+vardef Vecteur(expr a,b) =
+ save n; n = incr gddO;
+ gddT[n] = "vecteur"; gddA[n] = PointImp(a); gddB[n] = PointImp(b); n
+enddef;
+\end{lstlisting}
+Cette fonction a la même architecture que celle correspondante au
+\typeGDD{point} : elle retourne la valeur courante de \variable{gddO}
+après incrémentation, puis affecte le type \typeGDD{vecteur} à
+l'entrée correspondante dans la table \variable{gddT}. Par contre, les
+entrées des tables \variable{gddA} et \variable{gddB} sont
+différentes. En effet, on stock ici les identifiants des points
+formant le vecteur. La fonction \foncGDD{PointImp} s'assure que
+l'entrée correspond bien à un identifiant de point et non pas une
+\typeMP{pair} \MP. Elle sera décrite plus en détail ultérieurement.
+
+